#petits vendeurs
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tmc-consulting-club · 2 months ago
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Thibaut-Marc CAPLAIN vs La mafia amiénoise
Madame, Monsieur, Afin de confirmer l’envoi à la Présidence de la République, vous devez cliquer sur le lien suivant : xxx Sans confirmation de votre part, le message posté sur le site sera effacé sous 72 heures. —L’outil Ecrire au PrésidentPrésidence de la République ========================================================================================================= Voici, pour votre…
#"Au 3ème étage#"Les jouets de vos enfants font trop de bruit"#"On ne devrait pas mélanger les noirs et les blancs"...etc... - j&039;explique en boucle que l&039;appt 31 au 81 rue de l&039;O#Afin de confirmer l’envoi à la Présidence de la République#APPT 31 80000 AMIENS France +33 6 26 32 28 20 Vous êtes un particulier Votre sujet : Faire une demande à caractère personnel Votre message :#avons contesté tous les décisions du Tribunal d&039;Amiens via : - notre Avocat Maître David DALMAZ - l&039;IGPN qui s&039;occupe actuell#ça pu le nègre"#était le lieu de mes studios artistiques Faux expliquer ça en quelle langue ?... Si le Commissariat de Police Nationale d&039;Amiens avait#car : - ma famille a le droit à un logement digne (lire et apprendre : Les droits de l&039;homme) - je ne donnerai pas un centime de plus à#car sur Amiens#chaque année à Amiens#de vidéos et d&039;un dossier d&039;Huissier - j&039;explique en boucle que l&039;appt 21 au 28A rue Jean Moulin à Amiens#du style "Qu&039;en est-ce que votre tribu et vous allez comprendre qu&039;ici c&039;est LES PIERRES BLANCHES ?"#du 28A rue Jean Moulin à Amiens#est un bureau et que l&039;appt 22 au 28A rue Jean Moulin à Amiens#et arrêtaient de gober n&039;importe quoi#et du 81 rue de l&039;Offrande à Amiens ?... Si vous êtes intéressé par ces visites de la réalité#et que c&039;est depuis un bureau aussi - j&039;explique en boucle que le 77 route de Paris à Amiens#il est écrit : "une commission de personnes indues de leurs petites personnes#il y aura autant : - de Vendeurs de sommeil - de Policiers fachos - de Juges douteux - de Commissions tendancieuses ...bah il y aura des pla#il y juste matière à déposer plainte contre vous et vos services#J&039;ai reçu le 27 septembre 2024 par courrier postale#j&039;avais oublié Mme LAVALEE#je déposerai plainte contre vous et votre comité juste anti-droit de l&039;homme et anti-constitutionnel. Tant que sur Amiens#Je reviens vers vous pour la Xème fois#la lettre de trop qui soulève un niveau de conneries humaines inégalable...voir record total sur le territoire de la France ! Cela fait plus#le Commissariat de Police Nationale d&039;Amiens et le Tribunal d&039;Amiens pour faux et usage de faux Ah oui#le contenu du message que vous avez saisi (validation impérative via le lien ci-dessus) Votre identité : Monsieur CAPLAIN Thibaut-Marc Vos c#le message posté sur le site sera effacé sous 72 heures. --- L’outil Ecrire au Président Présidence de la République =======================#les documents...etc... => de nombreux médias hallucinent aussi de l&039;ensemble de ces histoires débiles Là
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akiratronixe006 · 4 months ago
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- Sans -
Vivant à Couveneige avec son petit frère Papyrus, il passe le plus clair de son temps chez Gribbly quand il n'est pas au travail ou avec son frère. Il a plusieurs jobs :
- Sentinelles à Couveneige sous le patronat de Cammandogue
- Sentinelle aux Chutes patronné par Undyne
- Vendeurs de Hot-dog à Calciterre
- Serveur chez MTT hôtel
- Et Gardien à l'église de la Capitale
Il aime son frère et le soutient quoi qu'il arrive, mais son côté flemmard et ses blagues ne cesse d'irriter ce dernier. Mais ils restent tout de même très proche malgré leurs comportements opposé.
À part ça, il est assez neutre avec les autres monstre ainsi que Frisk, il ne les déteste pas ni ne les aime. Il les voit juste comme une bonne compagnie.
Il possède aussi un animal de compagnie qui n'a jamais été nommé à ce jour. Sans l'a adopté après qu'il lui soit tomber sur le crâne. C'est une pomme de pin.
Tête en l'air et flemmard, Sans est le cliché même du gars qui ne se casse pas le crâne. Réfléchi et posé, il donne souvent à Frisk de bon conseil et fait preuve de beaucoup de sang froid. Ses aptitudes lui ont ouvert les portes de la science qu'il a pratiqué pendant une courte durée avant d'arrêter définitivement. Il adore faire des jeux de mots et raconter des blagues pour lesquelles il a déjà trouvé un publique.
Frisk le rencontre lors de sa sortie des ruines, lors d'une de ses énièmes tour de garde. Il lui proposera de venir l'aider à tester un des casse-crâne de son frère.
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ekman · 3 months ago
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La France est en soins palliatifs. Sous piquouze de choc. De l’olympisme en intraveineuse. Du shoot de winner médaillé or. Plus de gouvernement, certes, mais le petit peuple, toujours coiffé par ses élites, se délecte. Bientôt on tentera de payer sa baguette en drachme estampillé BCE, mais qui s’en fout ? La tant redoutée “troïka bruxelloise” viendra déféquer dans les bottes de la garde républicaine, nakamuratée à mort et bien incapable de défendre la porte du château. On devra faire ceci et ne plus faire cela. On dira adieu à l’épargne, aux retraites, à la santé. On se responsabilisera enfin sous le regard sévère (mais juste) de Blackrock, de Pfizer, d’Ourzoula et de tous les copains habillé en bleu atlantique. Chiche que l’on nous demandera d’apprendre l’ukrainien.
Et Branlotin, dans tout cela ? Eh bien le petit connard narcissique est parti tâter du muscle au soleil, photographié sur le yacht d’un énième oligarque (?), tout sourire, déjà bronzé, sans Jean-Bri. Ça va nous faire un combo cocaïne-vaseline au coucher du soleil, à n’en pas douter. Les feux de l’amour, avec le tandem Jolly-Boucheron en guests stars descendues en Falcon de la République.
La France coule, le sourire béat, les poumons pleins d’air pur, dans le bonheur d’une capitale sans bagnoles, sans racaille ouane-tou-sri, sans SDF, sans OQTF, sans subsahariens vendeurs de tour Eiffel, sans plus trop de violeurs pakis, mais avec plein de caméras réputées intelligentes, gavée de QR codes inquisiteurs en diable, avec du bleu poulaga à chaque carrefour, du piou-piou en gare, des bénévoles qui essaient encore de sourire aux couillons sportophiles venus de partout se faire plumer dans les restos à micro-ondes des quartiers encore épargnés par les grillages et les blocs de béton.
La France se noie parce qu’elle a bu la tasse dans une Seine plombée par les étrons, les rats crevés et les larmes des Gabin, des Audiard, des Blier, des Ventura et de tous les cadors d’un passé couillu et bien révolu. Un milliard et quatre cents millions pour permettre à Salvadorina Allende et à une ministre clitoridienne de jouir d’un bain pourri, infect, dégueulatoire. Tristes connes, pauvres athlètes.
Que se passera-t-il après tout cela ? Nul ne peut le dire. Les cartes de Madame Irma sont illisibles, tombées de la table, parties sous le tapis ou déjà bouffées par les rongeurs darwinisés par la règle du profit et du silence. Même les conjectureux de plateau nous parlent de concours de javelot ou de 400 mètres haies tant l’horizon est bouché – illisible, imprévisible, invisible.
La France, la France, la France... chienne aînée d’une Église wokisée, pute consentante de satrapes ricaneurs et lâches, cumshotée dans tous ses orifices, veinifiée à la pfizzerine, noyée dans la Cène, raccourcie à la Conciergerie... pauvre fille, qui fut si belle. Se remettra-t-elle de tous ces coups bas, ces avilissements, ces misères proprement médiévales ? 2025, année des funérailles, ou premier chapitre d’un nouveau récit ? Les deux, qui sait, mon Général ?
J.-M. M.
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ernestinee · 3 months ago
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La journée commençait bof parce qu'on avait prévu de faire "un truc" aujourd'hui mais on ne savait pas trop quoi, et c'est souvent comme ça que ça commence mal parce que moi je veux bien à peu près n'importe quoi pourvu qu'on passe par un magasin de bouquins ou de jeux, mais l'homme veut absolument visiter qqchose et bien manger et l'ado veut absolument faire les magasins sans être accosté par un vendeur, manger en vitesse et être de retour assez vite du coup ce matin je sentais venir la journée de merde au point que l'ado a failli rester seul à la maison et à la dernière seconde il a vu ce qu'il devait réchauffer pour manger à midi du coup il a décidé de venir, je ne sais pas comment je dois le prendre, mais il devait encore se laver alors on a pris le train suivant mais même celui-là on a failli le rater, ensuite j'ai râlé parce que "vous n'êtes pas foutus de prendre un peu sur vous alors soit je suis avec l'un OU l'autre, soit je passe des journées de merde quand vous êtes là tous les deux mais y a jamais moyen de passer une journée normale à trois, vous êtes deux boulets, bordel" bon ça les a fait réfléchir apparemment et la journée s'est bien passée jusqu'à un certain moment.
On a visité Train World à Schaerbeek, c'était énormissime, l'histoire des trains en Belgique depuis les locomotives à vapeur jusqu'aux années 70/80, des vrais vieux trains dans lesquels on pouvait rentrer, des vieux objets, des anciennes affiches, tout ça tout ça bref l'ado a trouvé ça mieux que ce qu'il pensait (il pensait que c'était un vieux musée poussiéreux avec des miniatures de trains), l'homme était content pcq sa proposition avait plu, et puis on a pris le tram vers le centre-ville, il y avait l'air-co donc génial, on a mangé un petit truc et on s'est baladé en faisant des photos, la Rue Neuve n'est plus que l'ombre d'elle-même mais il y a une chouette dynamique à Anspach, Ste Catherine, Les halles et vers la Grand Place. On est en pleine période des plaisirs d'été du coup il y avait des animations de rue et des acrobates sur la Grand Place. Elliott a reconnu un acrobate d'une troupe de cirque dont il suit l'actualité. Il est rentré dans des magasins, a trouvé sa pointure sur les nouvelles Nike mais a eu la flemme de dépenser ses sous alors il est sorti en râlant bah oui la vie est chère que veux-tu, et après ça il a eu faim, il a été fatigué, il a eu mal aux pieds (tu sens venir le truc où je lui dis que ok je mets la moitié sur les Nike parce qu'il se plaint subitement de ses pieds ?) (jamais de la vie mais bel essai) moi j'ai fini mon film de 72 photos, j'en ai entamé un nouveau et cette fois je n'ai pas mis un Kodak, j'ai mis un lomography avec un effet un peu patiné on verra ce que ça donne mais c'est aussi 72 photos, ça va prendre une blinde pour les faire, j'ai trouvé 5 cartes pour ma collection dans Weward malgré que ça les ennuyait de me suivre dans des rues pour trouver ces cartes et on a mangé un mochi près de la grand place, il était délicieux et j'avais envie de parler japonais au gars du mochi mais j'ai pas osé et pourtant je voyais bien qu'il galérait en français et pourtant je sais commander trois mochis en japonais, comprendre un prix, remercier et dire au revoir du coup j'étais un peu déçue de moi-même. Après on a chacun eu fini nos pellicules et ça tombait bien parce que l'ado commençait à saturer de marcher sans autre but que des photos et des cartes Weward (pour ça il était d'accord avec son père) on a déposé les pellicules au labo, je me suis acheté une dragonne colorée pour mon Pentax 17 et on a repris le train vers la maison. L'ado s'est assoupi 5 minutes sur mon épaule et a décrété que "ah finalement ça va j'étais juste un peu fatigué" et vous avez remarqué comme moi qu'on n'est rentrés ni dans un magasin de livres, ni de jeux.
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egnidres · 2 years ago
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Happy birthday to my little baby ꒰♡ˊ͈ ु꒳ ूˋ͈꒱.⑅*♡
It's a bit short, but there's no angst, miracle. One day I'll publish some stuff about him ♪♪(o*゜∇゜)o~♪♪
Aim and Post Dark Cream belong to @zu-is-here
⊰✧⊱
Les deux enfants rentrèrent dans la boulangerie, accompagnés de Killer et saluant le vendeur, une tortue plutôt âgé. Ils se dirigèrent vers les vitrines, regardant les nombreuses tapisseries et viennoiseries disposés : des forêt noires, des gâteaux fruités remplis de crème, des milles-feuilles, des chou à la crème, des tartes au citron meringuée, des macarons, des éclairs au chocolat et au café, des pains au chocolat et des croissants.
— Ça a l'air trop bon, s'extasia Aim devant la vitrine, les étoiles dans les yeux.
Après avoir choisi deux gâteaux, une forêt noire et un gâteau au fruit, Killer demanda le plus naturellement du monde :
— Lequel vous voulez ?
— Mais Papa a dit que on devait juste chercher deux gâteaux, et qu'on devait pas prendre autre chose au sinon on allait pas finir de manger.
Nuisance avait dit ça en regardant le plus grand, comme s'il essayait de déceler si cela était un simple test ou oubli de sa part. En voyant son sourire confiant, il comprit qu'il n'avait pas oublier ça ou quoi que se soit d'autre, il n'avait juste pas envi d'écouter cet ordre qui lui avait initialement été donné.
— Night sais bien que quand on rentre dans une boulangerie avec des enfants il faut aussi prendre une petite pâtisserie pour le gouter. Et si on les mange sur le chemin du retour, il n'en saura rien. Alors, vous voulez quoi ?
— Celui au chocolat là-bas, répondit rapidement le plus petit.
— On appelle ça un éclair au chocolat... Mais j'aurais pensé que tu aurais pris le chou à la crème.
Tout en disant cela, il désigna la fameuse pâtisserie, sachant que Aim ne pouvait pas lire les petites pancartes devant la nourriture.
— C'est vrai que ça a l'air bon, mais il n'y a pas de chocolat.
Le plus grand sourit avant de demander la fameuse pâtisserie, ainsi qu'un mille-feuille au vendeur. Pendant que ce dernier commencer à prendre la nourriture pour les mettre dans une des petites boites en carton fins, il redemanda la même question à l'enfant aux yeux vairons, ne voulant pas qu'il soit le seul à ne rien avoir. Ce dernier regarda de nouveau le plus grand dans les yeux, avant de retourner son attention sur son cousin qui lui souriait comme pour l'encourager à prendre quelque chose. Finalement il bredouilla d'une petite voix :
— Des macarons.
Le squelette à l'âme bicolore lui frotta la tête, pas surpris le moins du monde par ce choix. Puis lorsqu'ils partirent de la boulangerie, remerciant la tortue, il donna les petits gâteaux aux deux enfants, qui s'empressèrent d'en prendre un morceau. Nuisance tendit un macaron marron à Aim avant de rajouter :
— C'est au chocolat si tu veux gouter... Kills, Papa va être en colère contre nous s'il découvre qu'on lui a désobéit.
— Ne t'inquiète pas, il ne saura pas. Et puis, s'il le découvre, ce ne sera pas contre vous qu'il sera en colère, mais contre moi.
⊰✧⊱
The two children entered the bakery, accompanied by Killer and greeting the shop assistant, a rather elderly turtle. They walked towards the shop windows, looking at the many tapestries and pastries on display: black forest, fruity cakes filled with cream, mille-feuilles, cream puffs, lemon meringue tarts, macaroons, chocolate and coffee eclairs, pains au chocolat and croissants.
"It looks so good", Aim exclaimed in front of the window with stars in his eyes.
After choosing two cakes, a black forest and a fruit cake, Killer asked most naturally:
"Which one do you want?"
"But Papa said we should just get two cakes, and that we shouldn't get anything else or we wouldn't finish eating."
Nuisance had said this while looking at the taller boy, as if trying to detect whether this was a simple test or an oversight on his part. Seeing his confident smile, he knew he hadn't forgotten that or anything else, he just didn't feel like listening to the order that had originally been given to him.
"Night knows that when you go into a bakery with children you have to take a little pastry for a snack. And if you eat them on the way home, he won't know. So what do you want?"
"The chocolate one over there," the little one answered quickly.
"It's called a chocolate eclair... But I would have thought you would have taken the cream puff."
As he said this, he pointed to the famous pastry, knowing that Aim couldn't read the little signs in front of the food.
"It does look good, but there's no chocolate."
The taller boy smiled before asking the vendor for the famous pastry and a mille-feuille. As the latter started to take the food and put it in one of the small thin cardboard boxes, he asked the same question to the child with the minnow eyes, not wanting him to be the only one without anything. The latter looked the taller boy in the eye again, before returning his attention to his cousin who was smiling at him as if to encourage him to take something. Finally he stammered in a small voice:
"Macaroons."
The skeleton with the two-tone soul rubbed his head, not surprised in the least by this choice. Then as they left the bakery, thanking the turtle, he gave the little cakes to the two children, who hurried to take a piece. Nuisance handed Aim a brown macaroon before adding:
"It's chocolate if you want a taste... Kills, Dad will be angry with us if he finds out we disobeyed him."
"Don't worry, he won't find out. Besides, if he does find out, he won't be mad at you, he'll be mad at me."
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lesillusionsterrestres · 1 year ago
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Le vendeur de roses
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© Photographie de Steve McCurry
Il y a ce vendeur de roses qui traîne tout le temps dans le quartier, avec des fleurs plein les bras. Il arpente les terrasses de restaurant à la recherche d’amoureux transis dînant aux chandelles.
Mais Ravi – c’est son prénom, enfin, c’est celui que je lui ai inventé, en espérant qu’il le soit un jour – fait tout le temps la tête. Comme si le flot d’amour qu’il tenait contre son corps à longueur de journée, manquait à sa vie. Est-ce qu’il offre des roses à sa femme, Ravi ? Est-ce qu’il a une femme, Ravi ? J’imagine que non, autrement, il aurait un peu plus de soleil sur le visage.
Mais il est fort, Ravi, parce qu’il arrive quand même à fabriquer une lumière artificielle lorsqu’il se poste devant des clients potentiels. « Rose, 2 euros. Rose, 2 euros. » Et souvent, sa lumière halogène fait illusion auprès des touristes – déjà éblouis par les lumières clinquantes d’un Paris qui n’aurait pour atouts que la Tour Eiffel et les Champs-Élysées.
Après avoir fait sa vente, Ravi s’éteint de nouveau. Son regard est sombre, et de toute évidence, si l’on criait « Âllo, y a quelqu’un ? », au fond de la cavité de son cœur, l’écho de notre voix nous reviendrait en plus triste, en plus désespérée.
Je me suis souvent demandé : « C’est quoi son histoire à Ravi ? » Mais Ravi ne parle pas français. Il maîtrise tout juste les quelques mots qui lui servent à présenter ses roses sur les terrasses. Je crois qu’il sait aussi baragouiner quelques mots en anglais. Mais comme c’est une langue que je ne sais moi-même pas baragouiner, c’est pas demain qu’on va pouvoir se parler. On peut pas aller bien loin avec Hello, Thank you et I love you, quoi que, on peut quand même aller quelque part : saluer, remercier, et dire l’amour. Tu m’diras, c’est un peu la base.
La base, mais pas assez pour raconter toute une vie. Alors, comme nous n’avions pas les mots pour nous parler, avec Ravi, je me suis mis à imaginer son histoire.
*
Ravi n’a pas toujours vendu des roses. Quand il avait 20 ans, dans son pays, au Pakistan, il vendait des oranges. Il était pauvre et vivait dans un bidonville avec ses parents et ses deux frères.
Dans une décharge, il avait dégoté une carcasse de voiture toute rouillée dont il ne restait quasiment rien, sinon le squelette décharné, simple et piteux. Mais c’était tout ce qu’il fallait à Ravi, qui avait accès à la beauté de cette épave, invisible aux yeux de tous. Avec son grand frère, ils ont ramené le trésor jusqu’à leur bidonville. Ravi savait déjà ce qu’il allait en faire. Il avait déjà tout imaginé et, dès le lendemain, il mettrait en place son projet. Il irait au grand marché acheter des oranges, négociées au meilleur prix. (Ravi était le plus grand négociateur de tous les temps : il négociait sans parler. Son sourire adoucissait tous les prix). Il viendrait ensuite revendre les oranges dans le quartier. La carcasse de voiture serait le meilleur des présentoirs.
C’est comme ça que le commerce florissant de Ravi a commencé, et qu’il a gagné en peu de temps le titre de : « Vendeur d’orange à la carcasse ».
Un jour, une jeune fille est venue près de son étal pour admirer ses oranges. Elle les regardait avec un émerveillement inconnu pour Ravi, comme s’ils étaient des petits soleils rangés dans un écrin d’obscurité. Alors, lui, regardait ses yeux à elle, et un nouvel émerveillement naissait encore. Il la trouvait belle comme le jour. Comme un jour prodigieux qui annonce le monde. Mystérieuse aussi, comme la nuit. Comme une nuit majestueuse qui promet l’infini.
Que faisait-elle là ? Qui était-elle ? Est-ce qu’elle venait lui murmurer un secret ? Qu’elle avait trouvé la clé du mystère des rêves ? Les mains de Ravi étaient moites tout à coup, sa gorge sèche, et son corps tremblant. Il ne comprenait pas grand-chose à ce qui était en train de lui arriver. Il ne savait pas comment s’appelait ce sentiment qu’il observait s’épanouir en lui. Il souriait. C’est ce qu’il savait faire de mieux, de toute façon. Et elle lui souriait en retour. Elle faisait ça encore mieux que lui, pensa-t-il. Et cela lui réchauffa le cœur. Elle a pris une orange. Il a refusé sa pièce.
Elle est revenue le lendemain, avec son mystère et ses yeux qui nourrissent toutes les misères. Il a osé lui demander son prénom. Elle a osé lui donner. Shala. Il était heureux de pouvoir la prononcer. Shala. Cette fois il aurait voulu la retenir, sauf que les mains moites, la gorge sèche et le corps tremblant. Il l’a regardée partir avec son orange. Il aurait voulu lui donner toutes les oranges du monde.
Ravi a sursauté de bonheur lorsqu’elle est revenue le troisième jour. Elle avait une question. Une de celle qui marque sans qu’on le remarque. Une de celle qu’on ne pose jamais à un inconnu, parce qu’à la fois trop banale et trop intime, trop légère et trop profonde, trop drôle et trop sérieuse. Une de celle qui fait mine de rien, mais qui a le pouvoir de faire jaillir de la poésie.
« Pourquoi vends-tu des oranges ? Et pas des fraises ou des bananes ? »
Et Ravi avait répondu, sans trop réfléchir : « Parce que l’orange de l’orange flatte ma carcasse, comme nul autre fruit. L’orange rend les choses belles et magiques. »
Shala avait aimé la réponse de Ravi, et elle était repartie avec son orange belle et magique. Ravi aurait voulu la retenir, encore, mais elle s’était éclipsée comme une lune trop pressée de rejoindre sa nuit.
Il a espéré qu’elle revienne le lendemain. Une quatrième fois. Et cette fois, « je la retiendrai » s’était dit Ravi, pour de bon. Je lui dirai combien elle est belle, je lui dirai que je veux la connaître, que je veux passer mes journées près d’elle, à admirer au fond de ses yeux, toutes les beautés cachées de ses ombres, qu’elle est un grand soleil, et surtout, il lui dirait, qu’il voudrait l’embrasser. Oui, il s’était dit que cette fois, il oserait lui dire qu’il rêve de l’embrasser. Qu’il se ficherait d’avoir les mains moites, la gorge serrée et le corps tremblant, qu’il arrêterait d’avoir peur et qu’il lui dirait tous les jolis mots qui lui sortent du cœur.
Mais Shala n’est pas revenue le lendemain, ni le jour d’après, ni les autres jours, ni aucun autre jour. Shala n’est jamais revenue. Et Ravi a arrêté de vendre des oranges. Le cœur n’y était plus.
Peut-être que Shala n’aimait pas les oranges, après tout. Peut-être qu’elle préférait les fraises ou les bananes. Oui, c’est ça qu’il aurait dû lui demander. Peut-être qu’elle préférait les fraises, qu’elle préférait les bananes. Peut-être qu’elle n’aimait pas les fruits ? Peut-être qu’elle rêvait de roses.
Alors, quand son grand frère lui a parlé du business de vente de roses à Paris, Ravi s’est tout de suite dit : « Mais oui, les roses ! Shala rêve de roses ! » Et peut-être qu’en vendant des roses à Paris, il la recroiserait de nouveau… et il pourrait enfin lui dire tous les jolis mots qu’il n’a pas su lui dire. Il lui offrirait des roses, par milliers. Et ils pourraient enfin s’embrasser. Ils pourraient enfin s’aimer.
*
Mais bien sûr, c’est pas du tout ça l’histoire de Ravi. Sa vraie histoire est moins jolie, moins tristement jolie. Plus dur. La carcasse, les oranges, Shala, et tout et tout, très loin de la réalité. La réalité c’est que Ravi est parti loin de sa famille, se fait exploiter parce qu’il n’a pas de papier, partage une minable chambre de bonne avec 8 autres colocataires dans la même situation que lui. La réalité, c’est que Ravi travaille comme un acharné pour un salaire de misère. C’est Sofiane qui m’a raconté tout ça un jour, et il m’a même donné le vrai prénom de Ravi. À une lettre prêt, j’y étais. Mais il faut croire qu’une lettre change tout. Avec une lettre, on passe du conte féerique à la réalité sordide.
Quoi qu’il en soit, je souhaite toujours qu’il soit ravi, le vendeur de roses, qui s’appelle Raki.
// Dédé ANYOH //
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lepartidelamort · 11 days ago
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Le régime rend obligatoire le dépistage de la drépanocytose pour les nouveau-nés blancs.
Le régime a décidé de casser le thermomètre du remplacement racial.
Cette décision n’a aucun sens médical puisque les nouveaux-nés européens – les Blancs donc – ne sont pas affectés par cette maladie.
Vidal :
La drépanocytose touche essentiellement les personnes qui ont des origines africaines, antillaises, maghrébines, moyen-orientales ou indiennes. Les personnes issus de certains pays méditerranéens (Grèce, Sicile) sont également concernés par cette maladie, quoique moins fréquemment.
On l’ignore trop, mais la Sicile et la Grèce ont eu le déplaisir de tomber aux mains des violeurs afro-musulmans.
La Sicile a été occupée pendant 250 ans par les racailles avant d’être délivrée par quelques dizaines de Nazis originaires de Normandie dirigés par Roger de Hauteville, un redoutable skinhead d’origine viking.
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Si vous connaissez Coutances, les fascistes ont installé une statue à sa gloire sur la cathédrale.
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En Grèce, le pays a croulé sous les vendeurs de kebabs pendant 400 ans avant d’être libérée par une coalition de suprémacistes blancs composés de Russes, de Français et d’Anglais.
Hélas, les violeurs d’Anatolie étant ce qu’ils sont, si l’administration turque a déguerpi sans demander son reste, il en va différemment de la génétique qu’elle avait emmené dans ses caravanes.
Pour en revenir à ce dépistage, cela fait des années que le régime tremble devant la légitime utilisation des résultats par les médias qui s’opposent au remplacement de population.
Évidemment, d’après le système, c’était du « délire ».
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Cette décision, dix ans plus tard, démontre que ce n’était pas si délirant. Le système préfère dépister inutilement les nouveaux-nés blancs plutôt que de laisser ces chiffres officiels circuler. Après tout, les statistiques ethniques ne sont pas interdites pour rien en France.
Nous n’aurons plus de belles cartes de cette politique effrayante poursuivie en secret par le système.
Nous vous proposons donc les derniers chiffres, ceux de 2022. Le total des nouveau-nés dépistés en France s’élève à 47,2%.
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Il était de 45,8% en 2021 :
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En 2015, sur la base des chiffres disponibles, l’institut Polémia avait proposé une anticipation. Il prévoyait 46% de naissances non-blanches en 2021 et 50% en 2024.
Nous étions un petit plus conservateurs et proposions plutôt 2027 comme année de bascule théorique, à raison d’une augmentation moyenne de 1% par an.
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Certains sceptiques déclarent que dans diverses maternités les dépistages sont systématiques. Cela peut arriver, mais, comme on le constate, cela ne peut expliquer les disparités entre les régions sur une même année. En 2022, la Bretagne affiche par exemple un taux de 14,6% contre 36,2% dans le « Grand Est ».
Cela n’explique pas davantage l’augmentation marginale, mais régulière, de ce dépistage d’une année sur l’autre. Ainsi la Nouvelle Aquitaine passe de 19,5% de nouveaux-nés dépistés en 2021 à 21,4% en 2022.
Enfin, cela n’explique pas davantage l’explosion générale constatée sur les 20 dernières années. La Bretagne est ainsi passée d’un taux de dépistage de 3,47% en 2005 à 14,6% 19 ans plus tard.
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Les cas de dépistages systématiques peuvent sporadiquement se retrouver dans les villes où le remplacement racial est si avancé que les maternités s’y embarrassent de moins en moins à distinguer la petite minorité de naissances blanches de l’énorme cohorte marron. Le personnel médical allogène doit d’ailleurs pester en interne contre ce qu’il doit percevoir comme un « privilège » accordé aux gwers maudits.
Peu importe ce point de détail, le tableau général demeure et il est laid, laid comme le faciès d’un groïde fraîchement déféqué par sa négresse de mère.
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Sauf bouleversement imprévu, en atténuant les projections de Polémia, on peut estimer, avec une relative assurance, que d’ici à 2030 la moitié de la natalité en France sera non-blanche.
D’ici à 2045, ce sera les deux tiers.
Comme souvent évoqué dans notre média, la disparition progressive des boomers d’ici la décennie 2030-2040 va brutalement assombrir les rues. Les villes françaises de plus de 50,000 habitants seront quasiment toutes à majorité non-blanche.
Nous projetons une France à majorité non-blanche d’ici les années 2050-2060, c’est-à-dire d’ici 30 ans. Mais ce n’est là qu’une projection globale.
Géographiquement ou générationnellement, le basculement aura partiellement lieu avant.
Précisons aussi que si la ventilation des Afro-musulmans est la politique de l’État depuis Manuel Valls, la densité reste un facteur important. Tous les points rouges de cette carte seront des zones à minorité blanche bien avant 2060. Les zones bleues seront relativement moins touchées par le remplacement racial.
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Ici, nous défendons le principe du séparatisme ethno-territorial, un véritable blasphème dans un pays façonné par deux siècles d’unitarisme jacobin.
Cette idée, quoique loufoque pour 99% des Français en 2024, deviendra une évidence d’ici 20 ans, au plus tard.
Une part croissante des Blancs ne voudra pas vivre à proximité des quelques 30 millions d’allogènes galvanisés par l’islam et dévorés par la soif de revanche raciale que leur avant-garde exprime déjà partout dans les médias.
Le racket fiscal au profit des masses parasitaires à peau sombre induit par le maintien d’un état unique poussera de plus en plus de Blancs à vouloir mettre un terme à l’expérience, directement ou indirectement.
Notre proposition d’un ou plusieurs états blancs est non seulement souhaitable, inéluctable, mais réalisable. Une comparaison avec l’état israélien en donne une idée.
Si un tel état factice peut exister au milieu d’un océan islamique, il n’y a pas de raison pour qu’un état blanc existe sur le territoire de la France actuelle.
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Bien sûr, par principe, il faudrait expulser tous les allogènes, de gré ou de force. C’est d’autant plus souhaitable que c’est d’une grande facilité, mais à une condition : la volonté.
Concentrés dans toutes les villes de France, majoritaires dans un certain nombre de départements, voire de régions, une entreprise de reconquête territoriale généralisée nécessiterait en premier lieu une base étatique racialement homogène et racialement et politiquement consciente, instrument d’une force blanche déterminée à reconquérir et nettoyer l’ensemble du territoire français.
Le premier obstacle est la masse de traîtres blancs qui, pour diverses raisons, entend se ménager une cohabitation avec les allogènes. Ils sont l’ennemi prioritaire. Ce n’est pas cette république, fût-elle aux mains d’un parti de droite anti-immigration, qui pourrait le faire. Il est illusoire d’imaginer que l’État français, déjà très affaibli, puisse maintenir son unité politique et administrative sous l’effet du remplacement de population et de l’inévitable résistance autochtone qu’il nourrit par contrecoup avec en plus une bourgeoisie acquise à la capitulation.
La paralysie du système démocratique est déjà manifeste, avec la formation à l’assemblée « nationale » de blocs politiques implicitement raciaux qui n’ont aucune possibilité de compromis, mais mutuellement paralysés grâce au jeu de bascule de la bourgeoisie logée au centre.
Cela implique rien de moins qu’une révolution ethno-séparatiste sur des bases idéologiques nouvelles. Du noyau étatique ainsi formé, se réaffirmerait progressivement l’autorité blanche sur l’ancienne France. Cela prendrait du temps, mais avec une volonté et un programme, les moyens technologiques le permettraient à terme.
Tôt ou tard le point de bascule sera atteint et l’État se désagrégera. Il pourra perdurer fictivement sur une carte, mais dans la réalité il sera éclaté en régions ethniques dominées par une majorité ethno-religieuse.
Comme le Liban.
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C’est la recomposition ethnique, territoriale, étatique qui fera suite à la défaillance de l’État français actuel qu’il faut d’ores et déjà anticiper. Dans un pays où l’État a créé la nation ex nihilo, les Français n’en prendront pas l’initiative. Il doit d’abord se décomposer dans les faits. Ce n’est que lorsque l’État ne pourra plus endiguer les assauts organisés des structures ethno-criminelles allogènes que ce scénario se matérialisera.
La disparition des boomers jouera un rôle important dans l’accélération de ce processus démographique et politique.
Nous faisons ici un énoncé. Dans la pratique, ce sera le résultat de chocs violents, d’affrontements ouverts et larvés, de soubresauts. Mais cela aura lieu et mieux vaut en avoir conscience dès à présent.
Démocratie Participative
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letourdumondedesdufraigne · 2 months ago
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Nous arrivons à Imsouane par les terres : un panorama à couper le souffle sur la baie s'offre à nous.
Nous avons testé le concept du "Dreamsea Surf Camp" : ce camp s'organise autour de lieux communs pour les repas et la toilette. Les hébergements sont composés de tentes berbères aménagées à l'européenne et de cabanes ouvertes sur l'océan.
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L'ambiance est très jeune et très sympa, nous sommes entourés exclusivement de surfeurs qui partagent leur activité avec la méditation et le yoga.
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A l'origine, Imsouane était un petit port de pêche actif.
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La notoriété des vagues locales et l'engouement mondial pour le surf ont fait que la cité s'est développée touristiquement avec beaucoup de chantiers d'immeubles en construction.
Nous sommes aussi allés saluer les anciens collègues de Marion au Travel Surf Marrocco, très sympas.
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Nous avons profité de cette immenses plage dans une baie magnifique entourée de montagnes.
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Les chiens sont redevenus les copains d'Olivier!!
Après 2 jours, nous quittons Imsouane pour prendre la route vers Taghazout. Les paysages vallonnés sont désertiques. Nous traversons une ville animée avec de beaux étals de fruits et de légumes. Il y a une petite bananeraie locale. Au bord de la route, il y a plusieurs campements de fortune d'où partent des fumées : ce sont des vendeurs de moules décortiquées cuites au bois...
Nous arrivons à Taghazout, ville "rue" animée et très touristique. Ici aussi les chats et les chiens errants se taillent la part belle.
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Cette petite ville sur l'océan est aussi le royaume des surfeurs. Notre GPS localise difficilement notre AirBnb...les ruelles très pentues et non entretenues posent un réel problème pour circuler. Nous finissons par frotter l'aile de la voiture contre un muret. Aïe! aïe! Aïe!
Notre location est située sur les hauteurs, dans un quartier populaire. L'environnement est très pauvre et délabré. Ce logement nous a permis d'atteindre le niveau bas de l'hygiène, du confort de nos hébergements. Nous ne pouvons pas organiser de repas dans cet espace compte tenu de l'état de la kitchenette et de la vaisselle!!
Le bord de l'océan et la rue principale sont colonisés par de petites échoppes avec beaucoup de restaurants . On se balade au milieu des fumées des grillages de poissons.
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La première nuit est très agitée parce que la "tourista" a pointé son nez ...Nous passons quand même une belle journée sur l'une immense plage, Flo récupère sous le parasol..
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Nous faisons une grande balade, de nombreuses activités s'offrent à nous, balade à cheval, à dromadaire, surf, jetski et quad.
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La seconde nuit ayant été encore très inconfortable en raison du bruit et du manque d'hygiène, nous jetons l'éponge !! Nous réservons une chambre au Riad "Les Ch'tits du Maroc" à Agadir.
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lounesdarbois · 1 year ago
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Chaque été depuis une trentaine d'années la descente graduelle de la Civilisation direction Afrique suit son cours. C'est comme le long déboutonnage d'un homme qui se rend compte peu à peu être un singe et n'y voit aucun problème, et au point où il se trouve cet été, un bouton de plus ou de moins, se dit-il, quelle différence ?
Ainsi nous aurons droit comme chaque année: -  aux clandos psychiatriques déambulant cul nu en hurlant sur le bitume fondu, ne s'arrêtant que pour chier accroupis sur les poubelles publiques (toujours en hurlant). -  à  la stupéfaction des pachas de l'époque ottomane écrasés de chaleur dans leurs chaises de plage sur les seuils, ne parvenant à manier leur éventail qu'à deux mains - aux filles de gauche voix enrouée dans la file d'attente des épiceries de nuit: "mais meuf what deux fuck?" pour faire américaine- canaille toujours trop bronzées, pieds sales, irrécupérables. - aux bandes de cailleras à la recherche de "chose-kek à gratter", blédards à teinture vendeurs de clopes, bonobos vomissant leurs lèvres marchant bras dépliés et mains sous le genou - aux lapeuses de glace au sucre de 40 berges cheveux courts, surpoids, cette fois tout à fait répugnantes, qui ont déjà renoncé à l'effort parce qu'elles ont leur gosse à la maison, leur chose  entièrement en leur pouvoir qu'elles vont malaxer tout leur soûl toute leur vie restante pour se venger de la vie - les bourges-"bohèmes" de plus en plus effeminés chaque année, de plus en.plus ambigus, toujours plus cocufiés, cambriolés, mais c'est justice. - aux transports en commun transformés en zoos roulants, bouillants, puants. - aux "événementiels", aux "fêtes", toujours les mêmes : un étal navrant d'objets à vendre sous une tente en toile cirée, une estrade vide avec des haut-parleurs crachant "du son", des brochures sur une table entourée de panneaux, c'est tout.
On ne le répétera jamais assez. Le processus d'extermination des Blancs est une guerre qui oppose non pas 2 fronts mais 3.
1/Le front des "vrais" avec les fas, les tras, "les petites gens les braves gens", les Gilets Jaunes, certains droitards, certains bourgeois, certains non-Blancs amis, nous, moi. 2/ le front des clandos, des envahisseurs, des colonisateurs, des métisseurs, des racailles, des profiteurs bien visibles, bien abrutis, identifiables, irréfutables. 3/ le front le plus méchant et le moins visible: bourges-bohèmes, planqués, banques, médias, synas, loges, PàB, boumeurs, antifas, élus, fonctionnaires, agents de l'étranger, bref toute la racaille du haut et de l'intérieur.
Il n'y a rien de pire que le front numéro 3, pas même la racaille même si elle était multipliée par clandestins au carré le tout au maximum de leur crasse en  fermentation sous cagnard dans maillot de foot synthétique. Le grand espoir de ces émeutes de sauvage c'est que ces primitifs une fois rassasiés de leurs bâtonnets de surimi au Capri-Sun chourrés dans les Lidl forcés à la Porsche-bélier s'en aillent demander un supplément d'argent de poche aux bourges-bohèmes du front numéro 2.
Par pitié les fas ne sortez pas du bois alors que la fête bat son plein! Nul ne doit risquer une minute de GAV pour un immeuble de bureau cramé. Je suis sorti du bois en novembre 2005, GAV pour extinction de feux de voiture à Echirolles. La belle affaire... c'est fini ce temps-là. Intervenir signifierait une interruption catastrophique de l'affrontement entre le front numéro 2 et le front numéro 3.
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Une idiote m'a dit que de toute façon tout le monde est bobo. Je lui ai dis non pas, pas les fachos. Et quand les bourges-bohèmes auront été bien détroussés, bien rossés, bien fessés, bien outragés par la racaille peut-être alors voudront-ils devenir des hommes c'est à dire, hélas pour eux, des fachos. "Mais nous on nique les fachos"...  Teu teu teu petites putes, tout beau, tout beau. L'arrêt des hostilités réveille une insolence refoulée ? Qui va niquer qui? Toujours des promesses. On vous renvoie trois mille autres cailleras sur la gueule ou vous avez suffisamment de quoi faire avec les dégâts des dix mille de la semaine dernière ?
Certains ont discerné quelle fabuleuse aubaine offrait le déchaînement de tous ces primitifs: - tout d'abord ces rats se sont donnés à voir au monde tels qu'ils sont vraiment et non tels que le monde voudrait qu'ils fussent. - ils ont cassé les barreaux de la prison des Blancs, ils ont saccagé, ridiculisé, piétiné presque chaque mirador du camp de concentration où nous à jeté le front numéro 3: magasins de vêtements franchisés, panneaux publicitaires, restaurants industriels, écoles publiques, mediathèques de gauchistes, etc. - ils ont menacé physiquement les insolents collabos ordinaires du front numéro 3: boumeurs, gauchistes, "activistes", hurleuses en surpoids, salopards anti-Blanc, insolentes, bouches inutiles de toutes sortes.
Toutefois que ces singes avachis dans leur hamac de sieste perpetuelle ne s'imaginent pas avoir accompli un quelconque travail lucratif. Ces quadrupèdes branlomanes sous shit ont encore beaucoup, beaucoup, beaucoup d'argent à se faire s'ils veulent bien mettre momentanément en sourdine leur lâcheté de pillards opportunistes de caravanes et tourner leurs groins renifleurs vers les opportunités fabuleuses des segments de marché encore intacts de la société de consommation. "La manière dont tu comptes en dit long sur ce que tu as brassé, la manière dont tu pompes en dit long sur ce que tu as sucé".
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alain75fr · 7 days ago
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08 Novembre 2024
Une journée libre à Katmandou avant notre retour en France, consacrée à dépenser nos roupies que jusqu’à aujourd’hui nous n’avions pas trop utilisé es. Avant cela nous sommes allés à Pattan , quartier chargé d’histoire que nous avions découvert il y a dix ans . Nous y sommes allés en taxi , pas d’autres moyens . Arrivés , nous avons reconnu l’hôtel où nous étions descendus . Quelques boutiques où nous sommes allés faire nos achats ( cadeaux ) pas toujours facile à choisir . Toujours négocier les prix , c’est un rituel obligé entre l’acquéreur et le vendeur , un jeu en somme bien compris . Nous avons déjeuné sur place avec vue sur les édifices . Beaucoup d’entre eux ont été restaurés suite au tremblement de terre que la ville a subi en 2016 . La fragilité de ces bâtiments n’a pas résisté au séisme . Mais la prise de conscience de la valeur historique de ce patrimoine architectural l’a sauvé d’une disparition certaine . Le tourisme du monde entier en est le garant aussi . Dans l’après midi nous sommes retournés à notre hôtel pour une petite pose et déposer nos achats . Vers 19 h nous sommes allés dîner mais ni l’un et l’autre n’avait grand appétit , un groupe de trois musiciens jouaient des morceaux traditionnels . Demain, Ramji et Chhiring viennent nous chercher à l’hôtel pour nous accompagner à l’aéroport . Nous remettrons à Ramji une enveloppe pour le remercier d’avoir été si efficace et chaleureux.
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carretera-de-mis-suenos · 6 months ago
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Cafayate y Salta 🌵
Hola todos,
J'ai conscience d'être un peu moins régulière en ce moment mais on enchaîne pas mal ces derniers jours et je trouve moins le temps d'écrire.
Nous sommes arrivés à Cafayate le 7 mai, c'était notre dernière étape avant Salta. C'est un joli village avec une belle église et beaucoup de petits artisans. C'est également une des étapes de la fameuse boucle sud de Salta, un des deux circuits touristiques de la région.
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Nous avons passé deux jours là-bas à flâner entre les échoppes et les petits bars. Au détour d'une rue nous sommes même tombés sur la boutique d'un vieux monsieur qui vendait de la vaisselle. J'en suis ressortie avec deux petites assiettes et l'histoire des dessins qui les ornaient contée par le vendeur. Charles, lui, a trouvé une tapisserie qu'il compte accrocher au mazot. 
En quittant Cafayate vers Salta, nous nous sommes promenés au sein de la Quebrada de las Conchas, l'ultime partie de la boucle sud avant l'arrivée à Salta. Entre roches aux milles couleurs, plaines rouges et désertiques et cactus, nous avons eu le vertige face à cette sublime immensité. Une chose est sûre : en Argentine on se sent minuscule.
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Nous sommes arrivés à Salta un peu tardivement dans un appartement que nous avions loué pour l'occasion. La météo avait déjà commencé à se dégrader et elle annonçait de la pluie et du froid pour toute la semaine. Nous avons donc décidé d'attendre le retour des beaux jours avant de reprendre la route. Nous avons pu découvrir Salta sous toute ses coutures, cette ville qu'on surnomme "la linda" (la jolie). En effet, elle se démarque des autres villes argentines par son architecture coloniale et ses rues charmantes. C'était une super pause pour souffler un peu, même si ça a aussi été notre petit moment coup de blues et mal du pays (temps maussade oblige !).
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Après cette petite semaine de repos nous avons mis le cap vers les Yungas, la partie jungle de l'Argentine. Je vous raconte cela dans le prochain post !
Besitos,
Luna
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clhook · 1 year ago
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Ce week-end j'étais en quête d'un canapé avec mon keum on a fait un million de magasins sans rien trouver mais le dernier c'était une dinguerie, déjà on entre le gérant nous saute dessus. Je déteste ça mais bon c un vendeur il fait son job bref il nous demande ce qu'on recherche donc on lui dit gniagnia un canapé d'angle convertible mais pas trop long parce qu'on n'a pas la place, il demande si on des animaux donc je dis oui un petit chat et là il dit "ah pour les chats c'est à l'étage... j'ai des fusils" euh quoi ???????????????????????????? avec mon keum on s'est regardés puis on l'a regardé en mode "bah si tu veux qu'on te donne de la tune peut-être ne menace pas de tuer notre chat ? c juste une suggestion" et ensuite il nous a montré TOUS les canapés de son magasin, il comprenait aucun indice qu'on lui lançait pour qu'il nous laisse trkl on lui disait "ah on va prendre des photos" "on va réfléchir" "on va revoir celui de tout à l'heure" mais le mec ne captait RIEN il commençait à partir puis il revenait vers nous et il voulait tout nous vendre genre il disait "celui-là si vous le prenez je vous donne 3 cousins avec" "ah celui-là je peux vous faire une réduc" "celui-ci on peut ajouter des appuie-têtes" "ah et au fait j'ai des beaux sacs là à 15€ au lieu de 109€" mais tg on veut pas un sac ni des coussins on veut un canapé mon gars !!!!!!!!!!!!! et le clou du spectacle quand il nous a dit "ça fait 40 ans que je suis dans la vente moi" eh bah mon bon monsieur un jour il faudra apprendre à être sympa avec vos clients ptdr
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darkchaton444 · 2 years ago
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Link ou BEN ? x Reader
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Hey hey hey ! Si vous aimez cette histoire et qu'elle n'avance pas assez vite à votre goût, vous pouvez toujours en lire d'autres tout aussi palpitantes sur mon compte Wattpad <3 :
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IMPORTANT :
Ça fait une éternité que je n'ai pas joué aux jeux Zelda et NON je n'ai pas joué au nouveau :') Me bâchez pas pliz-
Parcontre, si -> Je dis de la merde <-
Reprenez moi sans vergogne XD
Bonne lecture ! ____________________________________________________________
[Narrateur à la 1e pers.] [Dans notre monde.] [Pov : ???]
Il y a de ça quelques années, les premiers jeux de Zelda ont fait un carton.
Notamment Zelda Majora's Mask, sur la Nintendo 64, sorti en l'an 2000. Bien que le jeu et les graphismes pouvaient parfois être simplistes voire laisser à désirer, l'histoire et le gameplay ont séduit bon nombre de joueurs.
Dont moi.
Lorsque je n'étais encore qu'un gamin, j'avais l'une de ces fameuses Nintendo 64. Elle m'avait été offerte par mon grand père. Je ne possédais pas beaucoup de jeux à l'époque, mais je ne m'en plaignais pas. Mon favoris était, oui, Zelda Majora's Mask.
Ce ne sont que des années plus tard, à présent grandis, que j'ai cours à l'Université. Au début de mon parcours universitaire, j'avais appris que mes parents avaient emménagés dans une petite banlieue tranquille. Alors, un 28 août, j'ai décidé de leur rendre visite.
Au moment de prendre le chemin du retour, après un bon 3 heures à converser autour d'une tasse de café, c'était à ma grande joie que mon père m'avait redonné ma vieille Nintendo. Heureux de pouvoir rejouer aux jeux de mon enfance, durant le trajet alors que j'étais entrain d'y penser, j'apperçu une rue différente des autres. Dans celle-ci, plusieurs maisons s'adonnaient à des ventes de garage. Une idée avait alors germée dans un coin de mon esprit, celle de pouvoir trouver d'anciennes cartouches de jeux.
En parcourant diverses de ces ventes de garage, j'en étais arrivé à tomber sur le fameux jeu de Zelda. Il était dans une boîte avec d'autres jeux, mais aucun autre sur la même console. Cette boîte se trouvait entre quelques tableaux à l'art douteux et d'autres babioles toutes aussi étranges. Et alors ?
Eh bien, vous n'imaginez pas ma joie à ce moment-là. La cartouche de jeu était mise à la vente par un vieil homme qui avait tout bonnement le même aura que ceux dans les films d'horreur. Mais un aura étrangement généreux et sympathique, car au lieu de me la vendre, il me l'avait donné gratuitement.
Ainsi, je l'avais juste remercié poliment sans me poser d'avantages de questions. À cette époque, les films d'horreur n'avaient pas tous ce même début de piège.
Puis je me suis rendu à mon dortoir universitaire, hâtif de pouvoir rejouer à Zelda Majora's Mask.
Et...
C'était donc là que mon pire cauchemar... Mon ébat contre les ombres, eut commencé. Comme Il le dit si bien... Je n'aurais pas dû faire ça.
Ce n'est que plus tard, les mains crispées sur la manette en étant couvert d'un profond malaise, que je fixai mon Link brûler sur place dans une posture glitchée. La statuette de BEN, se trouvait devant moi, positionné à côté du vendeur au sourire effrayant. Qui est BEN ? Je ne savais pas, et je ne suis toujours pas sûr. Il m'avait juste dit qu'il était mort noyé, et qu'il voulait être libéré.
Je pense... Je ne sais plus... Avoir donné plus d'informations sur mon blog... Il fallait que j'en parle. J'ai essayé d'en parler. J'ai vraiment essayé...
Mais BEN me contrôlait et me guidait malsainement peu importe ce que je voulais faire, surtout sur le net. Il prenait contrôle de tout objet électronique avec lequel j'utilise. Lorsqu'il veut me parler plus clairement, on tchatte sur un site appelé CleverBot. Si je refuse, il me tourmente, encore et encore.
I have something to show you. Go play (J'ai quelque chose à te montrer. Va jouer)
Avait-il dit une fois. Je lui ai donc répondu.
I don't want to... (Je ne veux pas...)
Sur ce, j'avais arrêté de lui parler et je n'avais pas été jouer comme il me l'avait ordonné. Mais comme je l'ai précisé, il avait continué de me tourmenter, par vengeance ou bien par manipulation. Je voyais son image, celle de Ben, dans des endroits où il n'était pas supposé être. Si je faisais une recherche internet, il apparaissait, avec ce sourire dérangeant.
Je... Je n'en peux plus... Je n'arrivais plus à dormir, les nuits. Je le voyais même dans mes cauchemars. Lorsque j'étais seul dans ma chambre de campus universitaire, j'avais l'impression qu'il était là. Je sentais... Son aura. Depuis que j'ai joué à la cartouche de jeu, et qu'Il me manipule, je sens cette aura horrifiante n'importe où. N'importe quand. Et le pire. C'est que je ne sais toujours pas quand est-ce qu'il compte en finir...
J'avais besoin de sortir de ma boîte à terreur et à solitude, où j'allais devenir complètement fou. Ça faisait quelques jours déjà que je sentais les mêmes symptômes que celles de la dépression. Je ne sais pas si c'était parce que je ne voulais pas, ou si c'était car je pensais que je ne pouvais pas aller en cours, mais j'ai commencé à créer des excuses pour ne plus y aller. Déjà car je n'en avais plus la force, mais ensuite car je n'en avais plus la concentration ou la motivation.
J'avais alors décidé de revenir au nid familial, quand je sentais que j'allais craquer... J'avais besoin de réconfort, de visages rassurants. J'avais finalement envisagé cette idée uniquement après deux putains de mois d'hantises sans donner de nouvelles à personne.
Je n'avais pas préparé des centaines de valises, seulement une et un sac à dos suffisaient. J'avais zieuté ma Nintendo 64, et en avait avancé la main vers elle, mais je me suis stoppé dans mon élan.
Et décidé de la laisser là-bas.
Face à ma requête, mes parents étaient à la fois inquiets mais heureux, que je vienne. Ils ignoraient tout de ma situation actuelle, et je ne comptait pas la leur dire. Je veux juste me bercer d'illusions d'espoir, en retrouvant mes proches.
Ils m'ont installé dans une chambre d'invitée qui était assez simpliste. Ils ont gardé quelques uns de mes anciens meubles, comme le lit, mon bureau ou les commodes, mais la décoration m'était étrangère. Même si au fond, peu importe.
J'ai donc installé mon ordinateur portable sur mon ancien bureau, et ai placé ma Nintendo 64...
Et... Ai placé ma Nintendo 64...
À peine la console prit, je la relâcha en me crispant et elle retomba dans le sac. Ce n'est pas possible... CE N'EST PAS POSSIBLE.
"- Je... Je ne l'ai pas amenée avec moi..." Murmurais-je pour moi-même en tremblant...
J'entendis des pas lourds dans le couloir, ainsi que les craquements du plancher. C'était mon père, à coup sûr. Vu que j'ai laissé la porte ouverte, j'entendis sa voix rauque et calme.
"- Tout va bien, bonhomme ? Bon je sais que tu n'es plus un p'tit gars, mais sache que ta mère et moi, nous sommes vraiment heureux que tu sois à la maison."
J'étais ensuite resté, planté là, à observer la console pendant quelques secondes silencencieuses. Puis je lui répondit que j'étais également heureux.
La nuit tombée, de nouveau, je ne pu m'endormir. Mais cette fois, ce n'était pas à cause de ma conscience, ou de mes nombreuses visions cauchemardesques. Mais c'était littéralement de Sa faute.
Il faisait exprès ; Il me spammait de messages sur CleverBot. Même en mettant mon phone à silencieux, même en l'éteignant, même en sachant que normalement CleverBot ne peut pas envoyer de notifs, bordel. Le son des notifications qu'il m'envoyait étaient agaçant. Il voulait clairement que j'allume ma Nintendo. Il voulait jouer.
Do it. (Fais-le.)
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
Do it.
LEAVE ME THE FUCK ALONE (LAISSE MOI PUTAIN DE TRANQUILLE)
Last chance. (Dernière chance.)
Or what? (Ou quoi?)
Or you'll be the one who meet a terrible fate. (Ou tu seras celui qui rencontrera une terrible fin.)
Cette dernière phrase me fit trembler d'un coup sordide. J'ai froid, et je suis déjà mort de peur. Donc je peux vraiment mourir ? Et comment il va faire, pour me tuer ? Produire une décharge électrique ? ET PUIS QUOI ENCORE ?
Je suis venu ici pour échapper à ça, et me voilà encore en face de lui.
Go fuck yourself.
Sur ce, je me redresse brusquement sur mon lit. Le phone se remet à faire des bruits de notifications. Dans une poussée d'agressivité, je fracasse le portable de toute mes forces contre le mur. L'écran se brise en morceaux et quelques bouts mécaniques s'effondrent n'importe où sur le sol. Pourtant, de ma position, je constate l'écran qui est toujours allumé.
Sans savoir pourquoi, mon cœur se met à éclater dans ma poitrine. Tellement que j'ai peur de frôler la crise cardiaque. Mon souffle s'accélère et tremble sous la peur. Même en l'ayant éclaté sur le mur, il demeure fonctionnel. Ce bordel...
"- Laisse-moi tranquille... Ben..."
Soudain, du téléphone, un enclenchement vocal se fait entendre. Un son comme lorsqu'on fait "Dit Siri". Puis un rire méchaniquement enfantin sort de l'écran. C'est insupportable. Cette voix est malsaine et malveillante. Le rire tourne en boucle comme si c'était un sombre enregistrement. Ça ne s'arrêtera pas, non, tant que je ne ferai rien. J'ai toujours les foies. Mais c'est grâce à ça, que je réussis à empoigner ma couverture bleue, de la dégager de sur moi, de me lever et de marcher d'un pas non assuré vers la petite machine électronique.
Le rire est toujours en cours, lorsque je le prends. L'écran est si craquelée que je ne vois pas quelle application a employée Ben. À bout de nerf, je serre les dents. La peur et la frustration se font violence en moi. Les heures de sommeil manquées commencent à se faire sentir. Mes cernes témoignent de ma fureur. Ça fait... Deux mois.
Le rire continue de se moquer de moi. De se moquer de ma frustration, de mon désespoir. Une idée aussi sombre que Sa personnalité me surgit dans la tête. Sans me soucier du plancher qui craque comme un appel à l'aide, je n'ai qu'un endroit en tête.
J'arrive dans la salle de bain et allume aussitôt la lampe torche du téléphone. Et écrase celui-ci sur la surface de la cuvette de toilette. Dans le bain, je met le bouchon et active la chapelure d'eau. La baignoire se remplit peu à peu.
Je l'observe avec amertume et satisfaction, avant de prendre le téléphone, puis mettre la caméra bien en joue sur l'eau sombre : l'éclat de la lampe du téléphone fait un reflet semblable à la lune sur la mer.
"- Et ça, ça t'amuse, p'tit con ?"
Le rire se tût instantanément et un silence de mort arrache la place. Un rictus mauvais apparaît au coin de mes lèvres. Cependant, le silence glacial se brisa par quelque chose de plus inquiétant, encore. Cette fois, au lieu d'un rire machiavélique, se fait entendre... Un halètement. Une respiration lourde mais remplie de glitchs, à l'autre bout du fil.
"- T'as les foies, là, hein ?" Murmurais-je avec agressivité. "Alors ça fait quoi ? T'as du fun ?"
"- Tu n'aurais pas dû faireça."
À peine sa phrase prononcée, je lâche sans remords le téléphone dans l'eau et tout bruit ainsi que source de lumière se meurtrie instantanément. Je pousse un soupir de relâchement.
Ce doit être mon cerveau qui est saturé, mais mon sentiment d'apaisement fut vite interrompu, une fois le pied mis dans ma chambre. La télévision était ouverte sur la lune de Majora's Mask, avec la musique de Healing qui se joue avec les mauvaises notes.
La Nintendo n'est absolument pas connectée. En fait, rien n'est connectée à cette télévision, je ne l'avais jamais ouverte depuis ma venue.
"- ... Ben..." Prononçai-je plus comme un appel qu'un effroi.
La bouche de la lune se mit à bouger :
"- Won--- der-- ful-- Moon. Congra---tulations, He---rrr--o." (Merveilleuse lune. Félicitations, héros.)
Les mots avaient plusieurs intonations comme si BEN pigeait ces mots sur... Le Web...?
"- No-ot. Won---der--ful----en--o-o-ough." (Pas assez merveilleuse.)
Je me pinça l'arrête du nez. Depuis plusieurs minutes déjà, mon corps s'était habitué à remplacer la terreur par la colère et l'impatience. Mes nerfs allaient lâcher et ça me prit tout pour ne pas hurler ces mots :
"- Que. Me. Veux. Tu. À la fin ?"
"- Pl--aaa-y. Wit--h y--yo--u." (Jouer avec toi.)
"- Et ce n'est pas ce que tu fais depuis 2 mois !?"
"- W-wh--y b-b-b-bee--ing--so --st-ubbo--rrn ? I---I on-ly wan--t a f--rrriend. Co-nnn-ect your N-n-n-nint-t-tend--o." (Pourquoi être si têtu ? Je veux seulement un ami. Connecte ta nintendo.)
En soupirant sombrement, je la sortit de mon sac. Pourquoi est-elle là ? J'entends déjà mes lecteurs écrire "moi, je l'aurais brûlé, mis au chemin, donnée même". Et croient-ils que je n'ai pas essayé ? Croient-ils que je ne me suis pas arraché mes cheveux lorsque je me rendais compte que la Nintendo trouvait le moyen de réapparaître comme par magie ? Et la cartouche, même ?!
Je m'asseyai devant la TV, posant la nintendo en face. Je précisa que je n'avais amené aucun fil et qu'aucun, exactement comme la console, n'était apparu des enfers.
"- Y--ouu- Do--nnt--NEED--it." (Tu n'en as pas besoin.)
(C'est ainsi que Ben créa le Bluetooth- XD (Pardon.))
Lorsque j'appuyai sur le bouton de démarrage de ma console, rien ne se passa. Après tout ce qui se passait, je m'attendais à ce qu'elle s'allume tout aussi magiquement que les autres situations improbables.
"- Ça ne marche pas." Maugréais-je.
Les yeux encore sur la console, le même rire insupportable que tout à l'heure raisonna et lorsque je regarda l'écran de la télé, la lune avait disparu. Elle avait fait place à un jeune garçon plutôt réaliste, au sourire malfaisant. Ses yeux étaient saignants et sa peau était grise bleutée.
BEN drowned...
"- I-I-I don't NEED i-it t---to b-b-be t---urn--ed O-on. I-I-I ju--ust NEED y---yo-u to b-b-be neeear i-it." (Je n'ai pas besoin que ce soit allumé. J'ai juste besoin que tu en sois proche."
"- Qu--"
Soudain, je ne su absolument pas si j'étais devenu fou. Mais...
Ben tira les bras vers moi avant que des doigts ne sortent de la télévision, allant s'appuyer à son rebord. À partir de là, tout se passa bien trop vite. Et dans cet ordre :
Son sourire figé. Sa forme réaliste sortant de la télévision. Mon cri d'horreur.
Puis le noir.
Et enfin... Le bruit du vent.
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simleech · 5 months ago
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Lothaire aimerait bien recevoir un peu plus d'attention mais son intelligence lui permet au moins de comprendre que son père ne doit pas avoir le choix. Son nouveau job de vendeur de supérette doit faire parti d'un plus grand plan ! 🚀
Il reste quand même gâté avec un nouveau télescope pour l'accompagner dans ses rêveries à propos des projets supers confidentiels de son père. Il explore silencieusement les maisons qui longent ces deux routes qui semblent sans fin. Un étrange manoir et une petite rouquine qui semble s'y engouffrer attise sa curiosité...
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sofya-fanfics · 11 months ago
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Père Noël Secret
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Fandom : Spy x Family
Relationship : Damian x Anya
Je me suis inspirée d’un prompt de @youneedsomeprompts sur Tumblr : Père Noël Secret.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Damian avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir.
Disclaimer : Spy x Family appartient à Tatsuya Endo.
AO3 / FF.NET
Damian se dirigea vers le marché de Noël. Il avait passé tout l’après-midi à regarder les boutiques, mais il n’arrivait pas à trouver le cadeau idéal. Il mit sa main dans sa poche et serra le papier qui s’y trouvait. Il soupira. Sur ce papier, le nom d’Anya y était inscrit.
Il y a quelques jours, Becky avait décidé de réunir toute la classe pour tirer au sort les Pères Noël secrets. Il avait pioché le nom d’Anya. Depuis, la seule chose à laquelle il pensait, c’était ce qu’il pourrait lui offrir. Rien ne lui semblait assez bien. Il pourrait lui acheter des cacahuètes ou un goodie de Bondman. Il secoua violemment la tête. C’est n’importe quoi, pensa-t-il. Il ne pouvait pas lui offrir un cadeau aussi insignifiant. Même s’il était sûr que le goodie de Bondman lui ferait plaisir. Il se demanda qui elle avait tiré au sort. Il avait le secret espoir que se soit son nom, même s’il savait que cela était improbable.
Il arriva au marché de Noël et regarda les différents stands. Rien ne semblait convenir. Il voulait lui offrir le cadeau parfait, mais il commençait à croire qu’il n’existait pas. Il se dirigea vers un stand où plusieurs bijoux étaient déposés. Il écarquilla les yeux en voyant un bijou en particulier. Il s’agissait d’une chaîne en argent et d’un pendentif en verre en forme de bille. À l’intérieur du pendentif, un papillon vert y était gravé.
Il venait de trouver le cadeau idéal pour Anya. Il arrivait parfaitement à l’imaginer avec ce pendentif autour du cou. Il montra au vendeur le pendentif qu’il voulait et paya. Il passa le reste de la journée avec un immense sourire aux lèvres. Il était impatient de donner son cadeau à Anya.
******
Une semaine était passée. Il ne restait plus que quelque heures avant que les cours ne se terminent et que commencent les vacances de Noël. Toute la journée, les élèves de la classe avaient échangé leurs cadeaux, découvrant qui était leur Père Noël secret. Damian n’avait pas reçu de cadeau et il n’avait pas encore donné le sien à Anya.
Il était midi et Anya était seule dans la salle de classe, en train de finir un devoir qu’ils devaient rendre. Toute la matinée, Becky était restée avec elle. Puisqu’elle était seule, c’était maintenant où jamais. Il prit une profonde inspiration et avança vers elle. Anya leva les yeux vers lui, surprise. Le cœur de Damian s’accéléra, ses mains étaient moites. Il se demanda pendant une seconde s’il allait réussir à lui donner le cadeau.
« C’est pour toi. C’est moi ton Père Noël secret. »
Il lui tendit le petit paquet cadeau rectangulaire de couleur bleu clair entouré d’un nœud argenté. Il savait qu’il avait été un peu brusque, mais il était tellement nerveux, qu’il ne savait pas comment s’y prendre. Il n’arrivait pas à agir normalement. Anya accepta le paquet cadeau et l’ouvrit. Elle écarquilla les yeux en découvrant ce qu’il y avait à l’intérieur.
« Si ça ne te plaît pas, je peux t’offrir autre chose. Une figurine de Bondman, par exemple. »
Mais quel idiot, pensa-t-il. Il avait envie de se gifler. Pourquoi est-ce qu’il avait dit ça ? Anya sortit le pendentif du paquet et l’observa.
« C’est magnifique ! S’exclama-t-elle. C’est le plus beau bijoux que j’ai vu. »
Damian rougit. Anya attacha le pendentif autour de son cou. Elle avait un immense sourire aux lèvres et il pouvait voir qu’elle aussi rougissait.
« Moi aussi j’ai quelque chose pour toi. »
Elle prit son sac et fouilla à l’intérieur. Elle sortit un paquet cadeau rouge décoré de dessins de flocons de neige.
« C’est moi ton Père Noël secret. »
Elle lui tendit le cadeau, gênée. C’était la première fois que Damian la voyait si peu sûre d’elle. Il prit le paquet et l’ouvrit. Il y découvrit une écharpe bleue marine. Il la regarda d’un peu plus près et vit qu’elle était faite main. Il écarquilla les yeux. Elle avait tricoté elle-même l’écharpe.
« Je n’avais pas les moyens de t’offrir un cadeau comme tu as l’habitude d’en avoir, dit-elle presque comme si elle s’excusait. Alors je me suis dit que te tricoter cette écharpe serait une bonne idée. »
C’est vrai qu’il avait l’habitude de recevoir des cadeaux qui venaient des plus grandes boutiques de luxes. Mais pourtant, l’écharpe qu’il tenait était le plus beau cadeau qu’on lui avait fait. Elle avait passé du temps pour essayer de lui faire plaisir. C’était la première fois que quelqu’un avait ce genre d’attention pour lui. Cela le touchait. Plus qu’il ne l’aurait cru. Il mit l’écharpe autour de son cou.
« Merci, dit-il. »
Anya lui sourit et Damian remonta l’écharpe sur son nez pour cacher ses joues rouges. Anya avait aimé son cadeau et elle était son Père Noël secret. C’était le plus beau Noël qu’il n’ait jamais passé.
Fin
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argentinechili2024 · 8 months ago
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Arrivée à Santiago au Chili
Il nous fallait quitter la chambre à 7 h 30 ce matin. Le réveil a été dur, car je n’ai pas très bien dormi. Je suis encore malade, mal de gorge, toux, nez qui coule et ça perdure malgré les Tylenol extra-fort que je prends.
Après un débarquement sans anicroche, nous avons tenté de commander un Uber avec le cellulaire de Susan. Le premier chauffeur a refusé la course, et lors de la deuxième tentative, la transaction a échoué, car le système pensait que quelqu’un faisait de la fraude avec la carte de crédit, car on avait encore changé de pays. Baire est arrivé à la rescousse, et pour la première fois de sa vie, il a commandé un Uber. On a fait l’aller-retour entre le derrière du bureau de douane et le devant avant de localiser l’auto. Ça a pris 1 h 30 pour arriver à Santiago.
Nos amis sont venus déposer leurs valises à notre appartement, puis nous sommes allés manger dans un restaurant vénézuélien où on sert toutes sortes de viandes grillées. Poulet, bœuf, porc, c’était une assiette de cochon, mais vraiment très très bon. Il était 15 h quand nous sommes sortis de l’endroit où il n’y avait que des gens du coin, un très bon signe.
Revenus à l’appartement, j’ai fait une sieste et Susan et Daniel sont partis explorer la ville. Robert est allé acheter du pain, du café, des confitures et du lait pour le déjeuner.
Vers 19 h, nous sommes allés prendre un verre dans un quartier très chouette, entouré d’arbres, de restaurants et de vendeurs de babioles. Nous y retournerons souper, c’est certain.
Nos amis sont partis à l’aéroport vers 21 h, car ils ont un premier vol de Santiago à Bogota, à 1 h 30 du matin. En fait, nous partirons comme eux à la même heure dimanche.
Demain, nous avons prévu de visiter plein de choses. Espérons que je serai en meilleure forme.
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Lever de soleil à Valpairaiso à 8 h ce matin.
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Les petites maisons colorées de Valparaiso, du pont du bateau.
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Tous les drapeaux des pays d’où proviennent le personnel du navire. Ils ont été hissés sur le pont du bateau pour une première fois aujourd’hui.
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Assiette de viande rôties ce midi, ou plutôt cet après-midi. On a pas eu besoin de souper.
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Dernier verre avant que nos amis repartent en direction de San Diego, aux États -Unis.
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Nous, à Santiago.
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Au coin de la rue où se trouve l’appartement. On est en plein centre-ville.
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